Sessions de voyages au tambour
Le son et la vibration du tambour sont des clés vibratoires pour reconnecter à notre espace sacré intérieur et permettre le lien à nos guides, lignées, animaux, plantes, énergies sensibles.
Ce monde subtil, auquel nous connectons par le voyage chamanique, nous apprend par sa sagesse et sa vision globale à retrouver le chemin de notre intuition, à faire confiance et à nous laisser guider pour retrouver notre magie et pouvoir intérieur.
3 demi-journées pour explorer les mondes sensibles en petit groupe (4 – 5 personnes)
- 28 février > 14h – 17h
- 28 mars > 14h – 17h
- 25 avril > 14h – 17h
Participation : 50€
Lieu : Trégor
« En apprenant à écouter la mélodie du grand mystère, nous comprenons qu’il existe bien plus à ressentir que ce que nos yeux physiques nous permettent de voir. Voyager nous permet de développer cette intelligence spirituelle qui illumine notre être de vérité. » Angéline Bichon
L’idée est celle d’un cheminement et d’une évolution au fur et à mesure des 3 sessions et selon votre niveau de pratique. J’ajusterai les voyages et pratiques en fonction du groupe constitué ;
Étymologiquement, shaman, mot d’origine sibérienne signifie « celui qui voit dans le noir », celui qui perçoit les vibrations des mondes subtils et leurs informations propres, celui qui chemine à travers ses perceptions invisibles.
A travers ces ateliers, la proposition est de vous guider pour voyager de manière sûre au son du tambour, de sa pulsation de vie, de retrouver la connexion avec vos guides, alliés transcendés et compatissants et de vous permettre d’être de plus en plus autonome dans votre pratique.
Me contacter si vous êtes intéressé ou si vous souhaitez échanger.
« Le voyage chamanique est une pratique immémoriale issue de la plus ancienne forme de spiritualité connue de l’humanité et probablement la plus spontanée et accessible également : le rêve. Il s’agit donc de réapprendre à rêver, et par là même, de réechanter le monde – les mondes.
A la sagesse du Monde d’en haut. A la beauté du Monde du milieu. A la force du Monde d’en bas. » Laurent Huguelit
